Un beau samedi tranquille avec le soleil revenu dans le ciel !
Manger un gâteau moelleux au chocolat sans se culpabiliser pour le sucre et sans appréhender de gonfler comme un ballon à cause du gluten, quel bonheur ! A découvrir en vidéo ici ou directement la recette écrite à cette page.
On a parfois envie d’un bon hamburger, d’une boissons pétillante de couleur noire ou de croustilles frites à l’huile de palme. C’est de bonne guerre puisque beaucoup ont été élevés dans ce type d’alimentation alors que d’autres y ont pris goût malgré les efforts des parents pour bien manger. Mais au-delà des goûts, ce sont des dépenses.
J’ai toujours regretté les petits magasins de quartier, depuis que je suis au Québec. Jeune, j’allais à la laiterie chercher du lait cru avec mon bidon, puis le pain à la boulangerie, la viande à la boucherie. C’étaient aussi des moments de bavardage et de commérages agréables. La vie de quartier qu’on n’a plus depuis longtemps, en tout cas au Québec où les épiceries sont tellement grandes qu’on doit marcher des kilomètres pour trouver ce qu’on cherche.
Chaque fois que je vais à l’épicerie, d’ailleurs, je me demande pourquoi il existe tant de produits. Je ressors avec quelques fruits, légumes, céréales, etc… et je prépare moi-même mes repas. Je n’ai pas besoin de 99% de ce qui se trouve dans le magasin. Un petit marchand de primeurs suffit, comme au marché ou au coin de la rue, dans le temps. Ces petits marchands-producteurs qui sont aujourd’hui exploités par les grosses épiceries et qui ont de la peine à joindre les deux bouts pendant que les propriétaires des grandes chaines alimentaires s’en mettent plein les poches sur leur dos.
Alors j’espère que vous aurez envie d’acheter local pour que notre économie revienne à nos concitoyens et ne s’en aille pas dans celle des grandes chaines internationales. Achetons local SVP. Même si ça coûte un peu plus cher, on peut se passer d’autres choses qui n’est pas utile, on s’en rend compte quand on revient à une alimentation de base avec laquelle on crée soi-même de bons repas. C’est l’occasion de fouiner sur internet pour découvrir et concocter de bonnes recettes !
J’ai atterri ce matin sur une vidéo de la Radio Télévision Suisse à propos de « pandemic bonds », des obligations émises par la Banque Mondiale en 2017, pour trois ans, avec un rendement à 12 %, où les investisseurs récupèrent non seulement les intérêts mais leur mise de fond à condition qu’il n’y ait pas d’épidémie d’ici la fin du terme des trois ans, soit en juillet 2020. Ces investisseurs ont-ils vraiment lancé les dés et joué en sachant qu’ils pourraient perdre leur investissement quand ils ont acheté ces obligations ou savaient-ils… ? A découvrir dans cette vidéo :
Pour m’amuser mais finalement, c’est bien sorti !
Découvert ce matin dans mon groupe Facebook de tricoteuses :
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De tout coeur
Dominique
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Trop top mille mercis